Ce que l’on croit vaut!

Gounelle a écrit une petit (par le nombre de pages) roman, « L’homme qui voulait être heureux ». A lire ! Il y a là une collection de petites pépites :

 « Hans était de ses gens qui écoutent les mots, mais ne décodent ni le ton de la voix, ni les expressions du visage de celui qui les prononce ». (p. 42)

La communication est une équation à plusieurs inconnus…

 « Si vous êtes, au fond de vous, convaincu que tout le monde est sympathique, vous allez vous comporter de manière très ouverte avec les gens , vous allez sourire, vous montrer détendu. Et, bien sûr, cela va les conduire à s’ouvrir eux-mêmes, à se détendre en votre présence. Vous aurez inconsciemment la preuve que le monde est bien sympathique. Votre croyance se renforcera. Attention, la dynamique peut aussi être négative! ». (p. 54)

Nous accumulons des croyances sur nous même et la manière dont les autres nous percoivent. Notre comportement traduit ces croyances. Elles en arrivent à devenir effectivement la manière dont les autres nous percoivent. Ces croyances deviennent alors bien réelles… Soit responsable de tes croyances et de leurs conséquences!

« On avait administré à des malades un placébo présenté comme de la chimiothéraphie et 33% d’entre eux avaient intégralement perdu leurs cheveux ». (p. 75)

Le pouvoir des croyances…

« Vous découvrirez que c’est précisément lorsque vous vous autorisez à choisir des actions qui sont en harmonie avec vous, qui respectent vos valeurs et expriment vos compétences, que vous devenez très précieux pour les autres. Les portes s’ouvrent alors d’elles-mêmes. Tout devient plus facile, et on n’a plus besoin de lutter pour avancer ». (p. 143)

Quelles sont tes valeurs? Quelles sont tes compétences?

« Le chemin qui mène au bonheur demande parfois de renoncer à la facilité, pour suivre les exigences de sa volonté au plus profond de soi ». (p. 160)

Courage!

« J’étais passé de la colère à la stupéfaction, de la stupéfaction au doute, du doute à la compréhension, de la compréhension à l’acceptation, de l’acceptation à la reconnaissance, de la reconnaissance à l’admiration ». (p. 160)

Passer du refus à l’acceptation, et dans certains cas pousser jusqu’à l’admiration…

« Pour moi, une nouvelle vie commencait, et, dorénavant, ce serait MA vie, fruit de mes décisions, de mes choix, de ma volonté. Adieu les doutes, les hésitations, les peurs d’être jugé, de ne pas être capable, de ne pas être aimé. Je vivrai chaque instant en conscience, en accord avec moi-même et avec mes valeurs. Je resterai atruiste, mais en gardant à l’esprit que le premier cadeau à faire aux autres est mon équilibre. J’accepterai les dfficultés comme des épreuves à passer, des cadeaux que m’offre la vie pour apprendre ce que que je dois apprendre afin d’évoluer. Je ne serai plus victime des événement, mais acteur d’un jeu dont les règles se découvrent au fur et à mesure, et dont la finalité gardera toujours une part de mystère. » (p. 164)