Passe le temps

Le temps passe vite, de plus en plus vite.

Le temps est précieux.

Gamin, mes vacances d’été duraient une éternité…

Et si on pouvait ralentir la marche du temps, en tirer le meilleur parti, en s’essayant à vivre pleinement le présent?

Flaneries, silences, complicités, ne pas réfléchir à l’avant, ne pas réfléchir à l’après, penser à l’instant…

Ca vaut la peine d’essayer…

 

Choisis

J’ai recu cette petite histoire dans ma boîte courriel (merci Anne-Marie). Son sens m’a plus…

L’histoire de Pépé

Pépé était ce type de personne que tout le monde aimerait être. Toujours de bonne humeur, il avait toujours quelque chose de positif à dire. Quand quelqu’un lui demandait comment il allait, il répondait toujours : “Impossible d’aller mieux!”

Un jour, je suis allé voir Pépé et je lui ai demandé: « Je ne comprends pas… ce n’est pas possible  d’être positif  tout le temps. Comment fais-tu ? »

Pépé me répondit:

« Chaque matin, je me réveille et je me dis : “Pépé, tu as deux options aujourd’hui: tu peux choisir d’être de bonne ou de mauvaise humeur ».  Je choisis d’être de bonne humeur.

Chaque fois que quelque chose de désagréable m’arrive, je peux choisir de me comporter en victime ou d’apprendre de l’expérience. Je choisis d’apprendre.

Chaque fois que quelqu’un vient se plaindre, je peux accepter sa remarque ou lui montrer le côté positif de la vie.  Je choisis de lui montrer le côté positif de la vie.”

« Oui, bien sûr, mais ce n’est pas si facile », lui ai-je répondu.

« Sí, ce l’est, répondit Pépé. Tout, dans la vie, est une question de choix. Si tu simplifies, toute situation se résume à un choix.

  • Tu choisis comment réagir devant chaque situation.
  • Tu choisis la façon dont les autres influencent tes états d’âme.
  • Tu choisis d’être de bonne ou de mauvaise humeur.

En résumé tu choisis comment vivre ta vie. »

 

Step to the right!

Un cerveau, deux hémisphères…

Jill Bolte Taylor est neuro-anatomiste. Elle a été victime d’une hémorragie cérébrale, et nous raconte son expérience…

 

(merci pour le lien Didier)

 

Lâcher prise

Epitecte (50-125 après JC) était un esclave affranchi. Il prônait déjà le « lâcher prise »…

 

« Ce ne sont pas les choses qui troublent les hommes, mais les évaluations portées sur les choses ».

Nos réactions sont guidées plus par nos filtres que par la réalité. De petites choses peuvent devenir très importantes à nos yeux. Nos filtres sont responsables de ce qu’on ressent. Prends en conscience, évalue les situations constructivement !

 « Ne cherche pas à faire que les évènements arrivent comme tu veux, mais veuille les événements comme ils arrivent. »

Si ce qui se passe ne correspond pas à tes attentes, et que tu n’y peux rien, tu ne pourras qu’être décu… Par contre, si tu acceptes ce qui n’est pas de ton ressort sans résistance, sans déception, avec intérêt, tu pourras rester connecté à toi-même et tirer le meilleur de la situation. « Se glisser dans le flot de la vie, et acueillir ce qu’elle nous donne… ». Même dans les situations désagréables, pense « Il n’y a pas de situation plus propice à la philosophie que celle dans laquelle tu te trouves maintenant ! »

 « Le maître de chacun est celui qui a la pouvoir sur ce que chacun veut ou ne veut pas, pour le lui dispenser ou le lui enlever. »

Préoccupe toi de ce qui est à ta portée et indiffère toi pour ce qui ne l’est pas. Ne soit pas esclave de ce contre quoi tu ne peux rien. Tu pourras ainsi garder ta liberté, être ton propre maître. « Tu peux être invincible, si tu ne descends jamais dans l’arène d’une lutte où il n’est pas à ta portée de vaincre. »

« Personne d’autre ne te nuira si toi, tu ne le veux pas. On te nuira à partir du moment où tu jugeras que l’on te nuit. »

Nous pouvons choisir de ne pas nous laisser atteindre par un événement extérieur ou quelqu’un et de garder notre sérénité. Il faut s’entraîner, les quelques citations qui précèdent peuvent aider…

Je me promets…

Je me promets d’être si fort que rien ne peut déranger ma tranquillité d’esprit.

Je me promets de parler de bonne santé, de joie et de prospérité à toutes les personnes que je rencontre.

Je me promets de faire ressentir à tous mes amis qu’ils ont quelque chose de salutaire en eux.

Je me promets de voir les côtés positifs de toute chose et conserver mon optimisme.

Je me promets de ne penser qu’au meilleur, de ne travailler que pour le meilleur et de n’espérer que ce qu’il y a de meilleur.

Je me promets d’être aussi enthousiaste par le succès des autres que je le suis par mon propre succès.

Je me promets d’effacer toutes les erreurs du passé et de poursuivre mon chemin vers de grandes réalisations du futur.

Je me promets de toujours garder une expression joyeuse et de sourire à toute créature vivante que je rencontre.

Je me promets de me consacrer tellement à mon évolution personnelle que je n’aurai pas le temps de critiquer les autres.

Je me promets d’être trop serein pour me faire du souci, trop noble pour être en colère, trop fort pour avoir de la crainte et trop heureux pour permettre au trouble de s’immiscer en moi.

Je me promets de m’estimer et de le proclamer au monde entier, non pas en paroles mais en actes.

Je me promets de vivre dans la confiance que le monde entier est de mon côté aussi longtemps que je suis sincère avec ce qu’il y a de meilleur en moi.

(Christian D. Larson, Your Forces and How to Use Them – 1912)

Et pourtant

J’ai entendu dire que tout allait bien.

J’ai entendu dire que tout allait mal.

J’ai entendu un père s’agenouiller.

J’ai entendu un enfant piétiner.

J’ai entendu l’honnêteté.

J’ai entendu la vanité.

Et pourtant je suis là.